Jean Bastianelli est proviseur du lycée Louis-le-Grand, ancien proviseur de lycées français du monde (Munich et Vienne), et président de l’APL CPGE (association des proviseurs à classes préparatoires aux grandes écoles). Il est lui-même un ancien élève du lycée Charles-de-Gaulle de Londres et membre de l’Association des Anciens des lycées français du monde (ALFM). Il brosse le portrait de la classe prépa, spécificité française qui permet de commencer des études supérieures longues par deux années de préparation dans le cadre du lycée.
Quatre jeunes, boursier et boursières Excellence-Major en première année d’études supérieures à Toulouse, apportent leur éclairage sur la « classe prépa », filière d’études qu’ils sont très satisfaits d’avoir choisie. Deux d’entre eux sont en prépa ECT (économique et commerciale, option technologique), l’une en prépa ENS Cachan D2 (économie et gestion) et l’autre en BCPST (biologie, chimie, physique et sciences de la Terre).
Il et elles ont le projet de devenir ingénieurs et ont choisi de poursuivre leurs études, après le baccalauréat, à l’INSA de Lyon, l’un des six sites du groupe INSA (instituts nationaux des sciences appliquées). Lors d’un rassemblement des boursiers et boursières Excellence-Major à Lyon, de jeunes anciens élèves des lycées français du monde expliquent quelles ont été leurs motivations pour intégrer cette école d’ingénieur post-bac (candidature sur Parcoursup, recrutement sur dossier scolaire et entretien).